Elfes
Les Elfes sont le deuxième peuple le plus vieux des Terres Connues. Un elfe peut vivre jusqu’à l’âge de 150 ans en moyenne. Les elfes sont le peuple le moins diversifié des Terres, choisissant rarement d’aller s’établir ailleurs que leurs terres natales. La culture elfique s’est établie principalement à trois endroits sur les Terres Connues, représentant chacune un grand schisme dans l’histoire du peuple elfique: Les elfes de Galadorei, dont la capitale est Teir Aulë, le Saule Immortel de Galadorei; les elfes d’Eloren, habitant la forêt entourant la ville bâtie autour du Lac Elora; et finalement les elfes nomades de Mirahd, éternels pèlerins de la très ancienne foi d’Ishta’ra, la Déesse-Soleil mère des elfes. En dehors de ces trois endroits, il n’existe que très peu de villages ailleurs principalement peuplés d’elfes, bien que certains décident de quitter leurs forêts natales pour aller s’établir dans des villages humains d’Aslande.
N’importe qui saurait reconnaître un elfe par leurs grandes oreilles pointues; cet élément est la caractéristique première pour identifier un elfe.
Costume obligatoire: Longues oreilles (les demi-elfes possèdent des oreilles plus courtes).
Galadors
C’est entraîné toujours vers l’avant que le peuple des Galadors s’éloigne de siècles de noirceur, de siècles de haine, et de la mort de leur foyer. Chaque pas vers un horizon inatteignable, chaque échelon gravi vers l’élévation de leur peuple, chaque mesure de progrès atteinte les amène toujours plus près de l’image qu’ils ont de leur gloire d’antan.
Leur ancien empire s’est éteint il y a presque un millénaire, lorsqu’une secte de sorciers avares de pouvoir trouvèrent la source parfaite pour nourrir leurs sortilèges : les indénombrables âmes jurant allégeance à la couronne de Galadorei. Par des manigances insidieuses qui convainquirent le dernier Empereur des Elfes que leurs sacrifices ne servaient qu’à renforcer l’empire contre un Mal perçu, les huit mages purent commencer à prendre les vies qui allaient nourrir leur immortalité. Petit à petit, ils disposèrent de tant de pouvoir qu’ils devinrent inarrêtables, et même lorsque leurs plans furent révélés, leur chemin ne pouvait plus être entravé. Ils allaient vider de vie tout le monde des Elfes. Ce n’est que par chance que la fille de l’Empereur réussit à voir au-travers du stratagème, et put réunir des soldats pour tenter de mettre fin au complot. Lorsqu’ils se mirent à tomber comme des mouches devant les assauts arcanes de leurs ennemis, ils fuirent l’empire du plus loin qu’ils le pouvaient. Entombés vivants sous les glaces et la neige, ils eurent recours à de sombres rituels de nécromancie pour faire appel à la Pitié d’outre-tombe, qui promit de protéger leurs âmes jusqu’à ce que leur vengeance soit complétée. Ce ne serait que des siècles plus tard, découverts par des explorateurs, qu’ils reverraient la surface, durant un phénomène provoqué par la secte de mages, une peste magique connue sous le nom du Silence. Avec l’aide des aventuriers, ils mirent fin au règne de terreur du dernier des archimages, Elidyr Levari, et avec sa mort le pacte nécromantique prit fin, enlevant aux Galadors leur immortalité.
Ce sont les cicatrices que portent le peuple de Galadorei. Dans leur coeur, une promesse gît : jamais plus. Jamais plus qui que ce soit ne les empêcherait d’atteindre la vérité de leur gloire, auprès de leur divinité Ishta’ra. Revenus chez eux, ils lancèrent un appel aux quatre vents : tous les descendants de l’ancien empire seraient les bienvenus dans la gloire incandescente de Teir Aulë, le Saule Immortel, un nouveau monument à la grandeur du monde des Elfes. Nombreux furent ceux qui répondirent à cet appel, elfes errants, descendants de rares survivants, même certains Elorins et quelques elfes du Nouveau-Continent vinrent rejoindre les rangs de cette fière citadelle.
Unité et génie
Poussés par un fort esprit d’innovation, les elfes de Galadorei sont devenus des maîtres de l’industrie et des sciences, et comptent parmi eux de nombreux artisans, forgerons, alchimistes et autres chercheurs dédiés à toujours créer de nouveaux procédés, découvrir de nouveaux matériaux, et inventer de nouveaux artifices. La jalousie est chose rare chez les Galadors, et ils tendent à préférer échanger au sujet de leurs découvertes que de les conserver pour eux et devenir les seuls à profiter d’un nouveau produit. Chaque science qu’ils travaillent profite à ses sœurs, et donc le progrès qu’ils recherchent se produit à une vitesse fulgurante.
Galadorei impose une période de service militaire obligatoire à tous ses citoyens capables de marcher dans une unité. Cette période peut être commencée à tout moment entre l’arrivée à l’âge adulte et jusqu’à 80 ans, et doit durer un minimum de cinq années consécutives. La majorité des Galadors choisissent de servir le plus tôt possible, par pure fierté d’aider à la protection de leur patrie, et donc pour la plupart des citoyens de Teir Aulë et des environs, la structure de l’armée est source de familiarité. Les membres fondateurs de leur société étant tous tirés des ordres militaires de leur défunt empire, les Galadors prônent donc un certain niveau d’ordre dans leurs vies de tous les jours, et appliquent une pensée militariste à plusieurs aspects de leur culture. Dans le Saule Immortel, les gens sont regroupés par les unités dans lesquelles ils ont servi, et donc vivent auprès des gens qui ont juré de mourir pour eux.
Noblesse et royauté
Ayant abandonné le nom d’empire pour leur dynastie, les Galadors ont aussi arrêté d’appeler leur dirigeante par son titre d’Impératrice. Désormais Chancelière, Demera Fahar n’en est pas moins la figure de plus haute autorité de Teir Aulë, la personne sur laquelle tomberont les décisions les plus importantes et qui choisira la direction dans laquelle le Saule Immortel s'élèvera pour éclipser le Soleil. Auprès de la Chancelière règne aussi le Praetor, magistrat suprême et commandant des armées de l’Éclipse. Le Praetor est aussi souvent le Pontife de la religion des Galadors, et interprète les signes laissés par la déesse Ishta’ra. Premier conseiller et confident de la Chancelière, son statut repose aussi sur le soutien de ses Généraux, qui sont chacun chef d’un étage du Saule Immortel et de toutes les unités qui y résident.
Sous chaque Général, un Capitaine gère une unité propre à lui. Plus petit responsable de la chaîne de commandement, le Capitaine est le maillon qui solidifie la chaîne du pouvoir de Galadorei, en gardant les Galadors sous lui satisfaits, bien entraînés, et prêts à défendre leur citadelle.
Conventions de nom
Pour un elfe de Galadorei, il est important de savoir où tout le monde se situe dans la chaîne qui mène jusqu’à la Chancelière. Ainsi, la grande majorité d’entre eux mentionnent leur titre avant même leur prénom, de façon à s’identifier à leur interlocuteur de façon efficace. Les prénoms sont tous tirés de noms datant de l’ancien empire Galadorei, et donc les elfes qui ont rejoint Teir Aulë après l’appel de la Chancelière eurent à se renommer s’ils ne portaient pas déjà un nom datant d’il y a un millénaire.
Il est aussi important pour un Galador de savoir à quelle unité du Saule appartient son voisin, et donc le nom de leur unité suivra le prénom, faisant office de nom de famille pour les elfes de Galadorei. Ainsi, un nom de Galador pourrait ressembler à Capitaine Milian de la 276e Unité.
Titre
Général, Capitaine, Lieutenant, Officier, Sergent, Soldat. Ceux avec des rôles moins immédiatement militaires auront le nom de leur profession, par exemple: Chirurgien, Alchimiste, Artificier, Forgeron, Agriculteur, Gouvernant, etc.
Prénoms masculins
Milian, Orilys, Farran, Cyradil, Ilduin, Mythanar, Myrrion, Elydir, Arryn, Nym, Elisen, Meriel, Irhaal
Prénoms féminins
Cyrra, Caleriell, Lumorniell, Delsarna, Saida, Azariah
Noms d’unités
Les unités régulières sont au nombre de 300, ainsi la majorité auront un nom se terminant par “de la Xe unité”. Existent aussi : le Régiment Pyroclaste, la Garde Pontificale, le Corps Extérieur, la Compagnie Noire, etc.
Elorins
Au-travers des brumes s’élevant des eaux limpides du lac au cœur de la forêt, les mille-et-une lanternes et flammes arcaniques vacillent comme tout autant d’esprits dansant dans le brouillard. Ces lueurs fantomatiques sont les premiers aperçus qu’un voyageur aura de la splendeur grandiose recherchée par les Elorins, mages et poètes, fine-lames et fine-voix, le regard posé là où l’horizon reflète le firmament.
Descendants des elfes qui s’exilèrent avec la Prophétesse Elora, les Elorins sont des êtres sereins à en paraître distants, voire même froids. Se fier à cette impression serait cependant comme rejeter toute la passion qui les anime, un torrent d’émotions qu’ils préfèrent appliquer dans tout ce qu’ils créent, dans chaque geste du quotidien, dans leur dévotion à ceux qu’ils aiment et dans la perfection de leurs réalisations, plutôt que dans des cris de joie, des soupirs de contentement, ou de chaudes larmes de désespoir. Il est certain qu’un Elorin qui offre à son frère d’armes une chanson, à sa fille un vêtement, ou à son nouvel ami un repas, que ce don aura été fabriqué ou choisi avec intention, avec soin et avec plaisir.
Il ne faut pas se méprendre sur leur sérénité non plus. Elle n’est pas née d’un manque de soucis, ni d’une attitude qui tend à ignorer les enjeux de la vie : elle prend racine dans la fin d’une ère. Lorsque la Prophétesse entrevit la chute du Saule Millénaire, elle le reconnut pour sa vraie signification, le premier signe de la fin des temps. Elle enseigna à ses disciples à ne pas craindre ce crépuscule, l’Avènement des Profondeurs, mais à l’accueillir à bras ouverts comme héraut du renouveau.
Grâce et constance
Du plus bourru des cultivateurs jusqu’au plus délicat des danseurs, les Elorins sont d’une disposition si gracieuse qu’ils émerveillent communément ceux qui ne sont pas familiers avec leurs coutumes. Plusieurs croient que ce sont des enchanteurs nés, mais ils n’ont pas plus de prédisposition à maîtriser la magie que les autres peuples. Elle n’est que chaleureusement acceptée et encouragée, et la vénérable institution du Belvédère tend à accepter tout Elorin qui aimerait se pencher dans l’étude des secrets arcaniques. Ainsi, la petite nation dispose d’un grand nombre de pratiquants de ces arts surnaturels, et ceux-ci aiment appliquer de petits sortilèges dans leurs vies de tous les jours pour faciliter leurs activités.
Si on peut dire une chose d’un Elorin qui puisse entacher leur réputation, c’est qu’il est difficile de leur faire accepter toute notion qu’ils n’ont pas pensé eux-mêmes. Entêtés par leurs croyances et leurs façons de faire, les plus gauches d’entre eux iront même jusqu’à démontrer une vive arrogance envers ceux qui osent faire les choses différemment d’eux. Un Elorin ouvert d’esprit est plus rare, et ceux qui le sont ont tendance à quitter leur cité sur le lac, entouré de gens qu’ils percevront comme bornés, et qui les verront en retour comme des excentriques.
Noblesse et Royauté
Suite au trépas de leur bien-aimée Reine-Prophétesse Elora, les gens du lac respectèrent sa décision d’élire une dizaine de conseillers pour former le Synode, qui représenterait les intérêts du peuple elorin. Cette assemblée est composée d’un représentant de chaque classe de personnes de la cité. Les Marchands, la Garde du Lac, le Belvédère, les Virtuoses de l’Avènement, les Cultivateurs, les Guildes Ouvrières, les Artistes du Geste, les Artistes du Son, les Artistes de l’Image et les Artistes du Conte sont tous représentés chacun par une personne s’étant démarquée parmi eux pour sa capacité à diriger les autres.
Il est attendu de chaque membre du Synode qu’il s’occupe de sa section des gens d’Eloren de façon indépendante, mais qu’il ou elle amène aux réunions les questions qui risquent d’impliquer l’avenir des autres groupes de l’État, pour que tout le monde puisse conférer sur la situation.
Convention de noms
Chez les Elorins, les prénoms portent une signification particulière qui est découverte par les parents lors de la naissance de leur enfant. Un coquillage est récolté du fond du lac Elora pour chaque naissance, et les parents posent son orifice sur leur oreille pour y entendre le nom de leur progéniture. Une syllabe ou deux seront saisies dans les murmures du ressac entendues dans les tréfonds du coquillage.
Les prénoms elorins ne sont pas genrés, car ils sont décidés avant de connaître l’enfant.
Le nom de famille d’un Elorin est plus généralement fondé dans les racines de la langue elfique, et rappellera donc beaucoup les noms de l’ancien empire de Galadorei.
Prénoms
Surrin, Medelsi, Phydem, Amari, Lessem, Loranel, Misher, Ofini, Teredrys, Ocato
Noms de famille
Orilien, Valdoriel, Lenderei, Dazaren, Nievén, Kresseril
Elfes nomades
Que se passe-t-il lorsqu’un peuple uni par la haine perd l’objet de sa rage, lorsque leur prophétie ancestrale prédisant l’apocalypse voit tous ses signes remplis, mais que le monde perdure malgré tout ? Le peuple descendu des elfes Ishta’ri du désert en est un qui s’est fragmenté, petit à petit, sa guerre sainte terminée. Une guerre qui, au final, semble n’avoir eu aucun sens, ou au moins aucun but.
Jadis, les enfants de la déesse Ishta’ra retrouvèrent dans le désert de Mirahd des restes de ce qu’ils identifièrent comme étant la tablette Tharaniel, un artéfact datant de la vie de leur divinité. Cette collection de prophéties émises par la déesse, incomplète et sablée par le temps et les intempéries, contenait un présage de mauvais augure, que les Ishta’ris interprétèrent comme la volonté d’Ishta’ra qu’ils assassinent le roi d’Aslande, pour détruire son royaume et s’en approprier les restes. Ils menèrent ce plan à bien, mais le royaume ne fit que grandir de cette blessure, et désormais les bannières du Saint-Empire Aslandais s’étirent dans le vent partout où le regard de Dieu se pose. Ceux qui avaient dirigé le complot jusqu’au Vieux-Continent furent exécutés, et leurs confrères restés dans le désert laissés derrière.
Que se passe-t-il, donc ? Un tout se sépare en multiples entiers. Maintenant, presque un siècle après le jour où le sang bleu fut versé, il y a des dizaines de clans d’elfes nomades parcourant les déserts, des elfes qui nient ou oublient un héritage sanguinaire, qui s’efforcent de continuer dans un monde qui a perdu son sens. Leur avenir désormais dans leurs mains, ils survivent toujours, héritiers des savoirs du désert, et cherchent une raison d’être à une existence qui souvent semble damnée.
Endurance et sagesse
Maîtres d’un désert où eux seuls savent vivre, les elfes des clans nomades ont développé des mœurs particulières servant à la survie collective de leur peuple, des mœurs qui devinrent avec les siècles des rituels spécifiques à leur culture. Ils cultivent parmi eux la force nécessaire à survivre aux éléments, entraînant leurs enfants non seulement à endurer la dureté du climat, mais aussi à combattre les dangereuses créatures qui parcourent les sables. Qui ne prête pas son cœur à la lance et aux flèches peut le donner au savoir ancestral qui guide les enfants du désert. Un sage doit toujours mener le clan, peu importe sa taille, et si cette fonction repose souvent sur les épaules de l’aîné du groupe, cela n’empêche pas de jeunes elfes d’acquérir très vite les connaissances nécessaires à la survie des leurs.
Parmi les coutumes qui différencient les clans des autres elfes du monde connu, on peut reconnaître leur instinct de la dette. À cause de la rareté des ressources dans leur environnement, tout cadeau offert librement, sans échange, que ce soit un bien ou un service, devient à leurs yeux une dette à rendre à leur bienfaiteur. Inversement, celui ou celle qui offre s’attend généralement à endetter l’autre, de façon à pouvoir demander d’être servi lorsque ce sera opportun. Le rituel de l’eau dévoile la seule chose qui échappe à l’instinct de la dette : la soif. Le partage de l’eau est un geste sacré, et il est incroyablement mal vu de contrevenir à l’hospitalité de quelqu’un qui offre de l’eau. Ainsi, pour un elfe nomade, boire à la même source qu’un étranger fait d’eux des frères, de façon temporaire.
Si les elfes des clans ne se font pas la guerre entre eux, ils aiment toutefois s’adonner à un “jeu de guerre” particulier - un clan en attaquera un autre, prenant gare à ne pas verser de sang, dans le but de leur subtiliser de la nourriture, de l’eau, ou d’autres biens. La prise de prisonniers arrive parfois, et ceux-ci sont traités par le clan qui les a capturés comme des cousins en visite. Les denrées ainsi acquises seront rendues, et s’il s’avère que le clan pillé éprouvait visiblement une pénurie de ressources, un don de celles du clan des attaquants sera fait, invitant une dette envers eux. Cette coutume est née de l’importance de chaque vie pour les clans, qui fait aussi en sorte que les meurtres y sont très rares. Seules les pires des injures peuvent être résolues par la violence, et des duels cérémoniaux seront organisés et observés par un parti neutre pour régler ces différends.
Noblesse et royauté
Chaque clan d’elfes nomades se gère à sa façon, mais certains éléments communs découlent de leurs origines Ishta’ri. S’il ne doit y avoir qu’une seule personne à la tête d’un clan, celle-ci sera une femme, obligatoirement une sage. Une grande importance est rendue au rôle maternel parmi les elfes du désert, alors cette sage sera souvent aussi à la tête d’une famille, ou sinon adoptera un rôle maternel symbolique pour le clan, et sera donc nommée Matriarche. Autrefois, ce rôle rendait hommage à la nature d’Ishta’ra, mais de nos jours, il ne s’agit que d’une tradition.
Lorsqu’un clan est dirigé par un groupe de gens plutôt que par une Matriarche, on y nomme généralement un Patron. Généralement mais pas exclusivement un homme, cette personne servira de médiateur lors des débats pouvant survenir parmi les dirigeants du clan. Il devra rendre un jugement impartial lorsque ces conflits arrivent à une impasse, et assurer avant tout la survie du clan de par sa décision.
Convention de noms
Les elfes nomades reconnaissent la nature d’une personne comme étant celle du changement : toujours en mouvement, à l’humeur toujours nouvelle, et aux désirs toujours fluctuants. Ainsi, il est rare qu’un elfe des sables porte le même nom plus de quelques années, le premier d’entre eux lui étant donné par ses parents lors de son premier départ dans le désert, avant quoi le petit n’est pas nommé. Ces noms porteront souvent une signification associée à l’apparence, aux actes, ou aux aspirations de l’individu nommé. Ces noms s’additionnent avec le temps, et donc les plus âgés des elfes nomades portent un épithète composé de nombreux noms, tandis que les plus jeunes n’en auront qu’un seul, voire deux.
Noms
Metin, Emir, Aysun, Nasy, Ludo, Nadir, Katil, Aycam, Atis